Double vainqueur du prix du Joueur africain de l’année, Sadio Mané a tenu à remercier ses coéquipiers, le staff des Lions de la Téranga et son club. Il n’a pas manqué de remercier les journalistes de la presse sénégalaise ainsi que les supporters.
« Avant tout d’abord, j’aimerais remercier tous mes coéquipiers, le staff, mon club et bien sûr l’Équipe Nationale. Je remercie également tout le monde pour le soutien. Comment oublier nos supporters sénégalais ? Ils ont été immenses depuis le tout début pour nous permettre de gagner la CAN mais aussi de se qualifier pour la Coupe du Monde. Aux journalistes sénégalais ici présents, je vous remercie, on a cheminé partout », a d’abord déclaré le double Ballon d’Or africain.
Il rappelle dans la suite de son intervention sa passion pour les CAF Awards depuis le bas âge et précise que c’est ce qui le poussait à viser très loin. Aujourd’hui sur la plus haute marche du podium, l’enfant de Bambali n’est pas encore satisfait et en veut déjà encore.
« Quand j’étais tout jeune, suivre les CAF Awards me poussait déjà à me battre pour remporter ce trophée. Je viens de très loin. Je ne m’exprime pas beaucoup mais j’ai encore faim et je vais essayer de me donner à fond jusqu’au dernier jour de ma carrière. Les records sont faits pour être battus, donc pourquoi ne pas tenter encore ? Parfois, tu peux te dire que c’est impossible mais, pour moi, c’est possible. », déclare Sadio Mané.
Prochain objectif, faire une belle Coupe du Monde avec le Sénégal et gagner très vite une nouvelle Coupe d’Afrique des Nations pour rendre le peuple sénégalais encore plus fier.
« Je vais mettre tous les moyens possibles pour aller le plus loin possible à la Coupe du Monde mais surtout gagner une autre CAN avec le Sénégal. On en est capable. Je vais me battre avec mes coéquipiers pour rendre plus fiers le peuple sénégalais. On ne va pas s’arrêter là, c’est le commencement. Aujourd’hui, la gagne doit être l’ADN du Sénégal, donc je ferai et donnerai le maximum pour mon pays. », exprime-t-il, dans des propos recueillis par notre envoyé spécial à Rabat, Ablam Gnamesso.
