Le ministère français des armées a engagé récemment des discussions avec l’armée nigérienne en vue du retrait des militaires français du Niger sur demande du nouveau gouvernement. Malgré l’annonce du retrait des troupes françaises, la France continue ses manœuvres avec l’aide de certains pays de la CEDEAO dans le but de mener une agression contre le Niger.
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Depuis le 1er septembre, le gouvernement nigérien dénonce des mouvements militaires de la France au Bénin, Sénégal et en Côte d’Ivoire et qui sont dirigés contre son pays. Si depuis le renversement de Mohamed Bazoum, la CEDEAO soutenue par la France brandit la menace militaire contre le Niger, il y a lieu de se poser des questions.
Qu’est-ce qui justifierait une éventuelle intervention militaire de la CEDEAO au Niger, et de surcroit la France ? Il s’agit là d’une violation du droit international que commettent le gouvernement français et la CEDEAO au Niger selon le chargé d’affaires de l’ONU au Niamey.
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Dans son courrier, Aboubacar Daddo estime que, « la recherche des voies et moyens pour intervenir militairement au Niger » et le refus de rapatrier les 1 500 soldats français présents sur le territoire nigérien, sont « de graves actes de nature à porter atteinte et à la sécurité internationale par la France ».
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