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Burkina Faso : L’injustice internationale et la politique de double standard l’union Européenne.

Au Burkina Faso, le 6 novembre dernier dans le village de Zaongo, cent (100) personnes auraient été tués selon l’UE. Au lieu de sympathie, les autorités se retrouvent confrontées aux condamnations de la communauté internationale, qui les accusent sans enquête approfondie. Cette réaction vient juste raviver au sein des peuples, les questions légitimes sur les critères de jugement internationaux.

En effet, l’anomalie devient encore plus critique lorsqu’on compare cette situation à d’autres conflits mondiaux. L’Israël, ce pays au passé controversé, continue de semer la terreur en tuant des innocents palestiniens. Étrangement, l’Union Européenne garde un silence assourdissant. Pourtant, ils se permettent de pointer du doigt le Burkina Faso, cherchant à accuser les autorités surtout l’armée, pour des actes que les terroristes ont commis. Où est la cohérence ?

Les massacres en Côte d’Ivoire passent inaperçus aux yeux des grandes organisations internationales. Est-ce parce que la Côte d’Ivoire ou mieux, le chef de l’État ivoirien est un de leur fervent allié, immunisé contre toute sanction ou condamnation ? Les questions se multiplient alors que l’injustice persiste.

Les organisations internationales semblent avoir une dent particulière contre le Burkina Faso depuis l’arrivée au pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré. Prenons l’exemple de l’Ukraine, qui annonce sans « ciller », l’annulation d’élections. Normalement, cela devrait provoquer des réactions de l’Union Européenne et de l’ONU, mais étrangement, elles restent muettes. Comme on le dit si bien, qui ne dit rien consent. Si le Burkina Faso avait commis un acte similaire, ces organisations auraient hurlé au non-respect de la constitution (une constitution importer bien sûre). Pourtant, les élections ne peuvent pas avoir lieu tant que la situation sécuritaire n’est pas rétablie. L’Afrique, toujours victime d’injustices politiques, subit un traitement dégradant de la part d’organisations internationales et même de médias, en particulier français.

Les médias, tels que Jeune Afrique, continuent d’orchestré des campagnes de dénigrement et de désinformation contre le Burkina Faso, traitant le gouvernement de tous les noms. Pour eux, la formation de civils, tels que les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) en soutien à l’Armée, est une erreur. L’exemple est à prendre dans leurs pays tels que la France et autres, où l’on a vu des civils prendre les armes pour défendre leur patrie. D’ailleurs avec le Guerre en Ukraine, l’on avait vu Anastasiia Lenna, « Miss Grand Ukraine 2015 », prendre les armes pour combattre. En revanche, elle a été saluée comme une héroïne !!! Un double standard révélateur d’une vision coloniale persistante envers l’Afrique.

L’Union Européenne n’a aucun droit de condamner le Burkina Faso sans fondement. Surtout dans un contexte où, la lutte antiterroriste est courageusement menée par le Capitaine Ibrahim Traoré et ses hommes sans aucune appréciation et encouragement de ces organisations. Les véritables héros au front méritent respect et reconnaissance, non des accusations infondées.

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